Alain Charbonneau : le Pompon pour Fakir

Notre secrétaire Alain Charbonneau vient de voir son dernier-né "Pompon le Percheron" bénéficier d'un petit article dans la revue "Fakir".

Normal! Question promo, Alain est toujours en pointe(s)...

Après plusieurs chroniques dans la presse locale, son héros, Pompon le Percheron, vient de décrocher le pompon dans cette revue "fâchée avec tout le monde ou presque" selon sa formule en une.

Vu le ton sympa de la petite chronique, ils ne sont pas fâchés avec notre ami Alain à qui Fakir réserve un papier bref mais sympa, preuve que Fakir tout comme Pompon le Percheron, n'est pas un mauvais cheval.

C'est même mieux que ça : ils le soutiennent sur l'air de "Tous bourrins, un pour tous"

C'est en butinant sur mes pages Facebook que je suis tombé sur notre Fakir à la sauce Pompon. Il fallait bien que je débarque avec mes gros sabots et pas seulement pour protéger mes plantes de pied.

Ne pouvant en parler à mon cheval, vu que je n'en ai pas, il me restait à en parler à mes amis écriturialistes et aux "suiveurs" du blog, terme français pour ne point succomber au vocable habituel de "follower". Vous me suivez?

Quand j'entends parler de Fakir, je n'ai qu'une envie : il faut que je me pointe...

Le Fakir sonne toujours deux fois

Remarquez, j'ai eu de la chance dans ce cirque médiatique. J'aurais pu rencontrer notre ami Alain chez la femme à barbe ou chez l'avaleur de sabres, chez le cracheur de feu ou chez le ventriloque, chez la femme-tronc ou encore chez l'Hercule de foire.

Vous me voyez dire à ce dernier "Avance, Hercule"? Il aurait fait du sur-place!

Vous me voyez délirer sur la femme à barbe? Je vous aurais rasé!

Mieux vaut rencontrer Alain sur un salon, comme sur la photo à Sallertaine où il venait de raconter son histoire avec "Prudence" dont le blog s'était largement fait l'écho et que vous pouvez retrouver d'un clic :

http://ecrituriales.canalblog.com/archives/2019/09/09/37595223.html

Et vous savez quoi? Fakir avait aussi raconté son histoire, ce qui prouve bien qu'en d'intéressant par deux fois à l'écrivain-paysan d'écrituriales, le fakir, comme le facteur, sonne toujours deux fois.

Payer pour bloguer

J'en suis d'autant plus heureux que, vu tous les problèmes rencontrés par canalblog ces dernières semaines, j'ai bien cru que les jours du blog étaient comptés. En fait, suite à de grosses difficultés, il y a eu une restructuration pudiquement appelée "transition" entre canalblog et overblog, chacun gardant néanmoins pour l'instant son appellation contrôlée

La seule différence est que maintenant il faut payer pour bloguer avec, me semble t'il , quelques problèmes qui demeurent comme le flou du tourniquet-photos en haut de pages.

Si, au moins, Pompon était tombé sur un magicien au lieu d'un Fakir, on aurait pu assurer un habillage idéal de votre blog!

En attendant, j'espère que, pour vous, la lecture est acceptable et qu'elle n'est pas noyée sous un flot de pub qui gâche mon travail de mise en page.

Dites moi ce qu'il en est. Merci

Alain

Comments

[Roxane]

Bonjour !

Merci Monsieur l'animateur pour ce nouveau billet qui nous fait découvrir un agriculteur qui écrit des livres, certes pour son plaisir mais aussi pour défendre une cause. Avec la présentation faite de main de maître écriturialiste, il va de soi que l'on est forcément d'accord, surtout quand l'art Dac pointe son nez de Ragdalam, parbleu !

Seulement du pompon, la bureaucratie ambiante s'en moque comme de sa première chemise et pointer du doigt le bouc émissaire facile ne résout rien, et laisse les pauvres gens perdus dans les papiers de la république des âmes mortes, en plein désespoir.

Nous savons en certain milieu où cela mène, las !

Sans digression aucune, puisque Monsieur Alain nous informe de ses arias avec le système informatique, il ne messied pas d'aller faire un tour du côté de la MSA où dans les espaces privés, bientôt obligatoires pour gérer ses remboursements santé, les cadres concernés sont incapables de maîtriser la chose, laissant les adhérents dans le coup sur une page indisponible, sans le moindre élément utile sur le dossier consulté.

Il y a des millions de gens qui n'ont pas d'ordinateur pour des tas de raisons que l'on peut facilement comprendre.

Bien sûr, le système a prévu des agences "services" mais comment faire à un certain âge, sans moyen de locomotion pour aller à la rencontre de je ne sais quelle "Madame Yamilah" censée face à un écran répondre aux exigences des caisses d'assurances ?

Comment ne point tomber dans le "panneau", cher Monsieur Charbonneau ?

Têtes bien faites et bien pleines, on connaît la chanson ! Refaire pour une re-mise à l'endroit, peut-être...

Renverser est impossible, nous dit François Jullien qui en appelle à raviver l'esprit en ce monde de dingues.
Nos dervis et autres Tahra-Bey modernes nous laissent sur notre faim, notre fin.

Quant au petit cheval blanc de la complainte et de la chanson, s'il revenait dans le beau temps, ce serait
le pompon !

Mais le temps, le temps qui passe, le temps qu'il fait...Il est partout, il est en nous, ce facteur.
Si par hasard, dans sa sacoche, vous mélangez ses lettres, eh bien, les amis, "Le facteur temps", sans tour de magie, vous étonnera par ses mots qui pointent un sens caché..."et c'est le parfum" !
Alors, enivrez-vous, a dit le poète.

Roxane

[Charbonneau]

Merci Alain ! J'avoue que j'ai été surpris qu'ils parlent de POMPON . C'est peut-être aussi un moyen de faire connaître écrituriales. Je ne sais pas si c'est la raison, mais il y a eu plus de visite sur le site.