Du sport antique de la précédente chronique à la poésie qu'on vous propose en concours, il n'y a qu'un pas que le blog n'hésite pas à franchir.
En petite foulée!
Avec rime et raison!
Pourquoi donc, grands Dieux?
Tout simplement parce que la revue de poésie en ligne Poetika vient de lancer son concours de poésie 2023.
Une belle surprise en 2021
Alors faites comme votre blogueur il y a deux ans : taquinez la muse. Inspiration, expiration! Mettez du souffle dans le poème que vous allez leur envoyer et peut-être que,comme moi, vous aurez la chance de remporter un prix et le plaisir d'être publié sur leur site.
C'est sympa, c'est élégant et c'est gratifiant.
Il suffit d'un clic sur http://www.poetika17.com/listelaureats.html puis d'un nouveau clic sur 2021.
Comment s'inscrire au concours
Si cela vous fait envie, si vous avez la fibre poétique, n'hésitez pas : poetikez! Il ne s'agit pas de vouloir poéter plus haut que son cul ou de se prendre pour Baudelaire ou Hugo.
Vous voulez vous inscrire, C'est simple.
Vous saurez tout en allant sur le site de Poetika.
Il ne vous restera plus, crayon en main ou face à l'ordinateur, qu'à mettre de la couleur sur vos mots choisis.
Il vous suffit de muser en vous amusant ou à vous amuser avec la muse.
(dessin Pierre Fouillet)
Retrouvez poetika sur le blog. Juste un clic!
Hier, je terminais un petit propos avec l'albatros empêtré qui n'a pas dit son dernier mot, dans le blogue d'un ami.
Et dans la foulée pour me rafraîchir un peu les idées, je me suis plu à aller refaire un tour du côté de l'écriturialiste où, par le plus grand des hasards, j'ai découvert dans un florilège de poèmes, entre un gamin de Paris et un berger cévenol, le cours de l'albatros. Mission de reconnaissance en terre inconnue où l'oiseau s'exprime...Mission accomplie.
"Je pense donc je suis : "Cogito ergo sum" Extrait des Principes de philosophie, mentionné en ce cours.
Un extrait qui reflète une belle anagramme, en latin : "Gusto, mico, rego" : je goûte, je palpite, je gouverne.
Peut-on échapper à la transcendance de l'albatros? Un physicien parlant de ses collègues expérimentateurs, écrit au chapitre des "Hommes et cité" : En vérité ils sont des épitomés d'albatros.
Au delà des jeux de mots et des concours en tous genres, poïétiser peut-être, encore et toujours...
Pour qui? Pour quoi faire? Pour rien sans doute ou pour un au-delà de ce rien...comme il est écrit dans "L'air et les songes".
L'homme de la rue, l'air de rien, s'en fiche et vous aussi, peut-être, lecteur de ce petit mot!
Nous reste la nuit...
Qu'elle vous soit bonne!
Roxane