L'Espagne facile avec les guides ecrituriales

En Espagne aussi, il est possible de hisser le pavillon ecrituriales.

A plus forte raison quand on se trouve à Seville sur le site de l'expo universelle de 1929 lors d'un périple en Andalousie!

Avec en mains le guide de Lucien Saurigny, la visite s'eclaire d'un nouveau jour dans le Séville by night.

C'est bien la preuve qu'à ecrituriales aussi, les guides touristiques ont toute leur place à tenir et tout leur rôle à jouer.

Avec les différents ouvrages de notre prof d'espagnol qui a passé une bonne partie de sa retraite sur les routes de l'Espagne, le lecteur n'à que l'embarras du choix.

Pavillon haut

Il a le privilège de découvrir une autre image de l'Espagne qui sort des sentiers battus.

Dans les guides touristiques aussi, ecrituriales aussi peut voyager pavillon haut.

Et ce n'est pas votre blogueur qui vous dira le contraire...

Il faut bien sûr une guide en chair et en os pour découvrir le pays au son de son français qu'on trouve à la fois chantant et "tré tré ioli".

Mais c'est quand même mieux encore avec un des guides de voyage signés Lucien Saurigny et publiés par écrituriales. 

Avis aux amateurs! Il  en a publié trois depuis 2016 avec en bonus Compostelle en vélo électrique. Le lecteur peut les retrouver sans peine en quelques clics avec le tag dédié.

Ces guides écrituriales s'intègrent parfaitement dans le paysage et cela est nickel pour un touriste qui, comme votre blogueur ex-prof dans la langue de Shalespeare, parle espagnol comme une vache anglaise...

Retrouvez le tag et voyagez en Espagne.

C'est fort pratique pour tous ceux qui, comme moi, ne maîtrisent guère la langue. En fait, je ne connais que trois mots : bonjour buenas dias, s'il-vous-plait per favor et comment tu t'appelles "Téquila?".

Je sais que ma chute est un peu olé-olé. Alors quitte à m'engueuler, allez-y Franco!

Adios!

Comments

[Roxane]

Ventrebleu, quel billet!



Tout à l'honneur de notre Lucien de Bressuire qui mérite, à n'en pas douter, ce propos élogieux du blogueur.



Plus d'un, je le sais, a aimé ce guide d'évasion.



Avec Rossinante, en deux pieds, en deux chevaux, à vélo...Heureux qui comme Ulysse a fait un beau voyage.



Il faut lire et relire, peut-être, pour aller encore plus loin...sans faire châteaux en Espagne!



Alors, allons-y franco au pays d'Aragon et Castille! Un peu de sang chaud quand même pour s'aventurer en telle auberge espagnole et "de cavaler au vent des mirages"...Cette folie entre guillemets renferme par un pur hasard en ses lettres permutées, l'écrivain "Miguel de Cervantès Saavedra"



Un délice! Évidemment, puisqu'il est Dulcinée.



Au diable les anagrammes, jeux d'esprit ou autres amusements qui passent le temps à des jongleurs de la ville ou du fin fond de campagne!



Revenons à notre guide et imaginons, mon Capitaine! Imaginer, écrivait Gaston Bachelard, c'est hausser (...) le réel d'un ton.



Oui, imaginons, notre auteur, quelque part, en si belles régions rencontrant par hasard un pèlerin. Icelui lui tend sa gourde et chemin faisant, ça parle peu et ça parle bien!



- Dites-moi, mon bon seigneur, ce que veut dire le verbe espagnol "Ensimismarse"?



- Eh bien tout simplement l'acte de "s'en-moi-mêmer", pardi!



- Oui, mais ça veut dire quoi, en bon français?



- De grâce, ne me posez plus de questions et laissez-moi tranquille!



Plus loin, près de Màlaga, une sente qui bifurque et sur la porte d'un moulin à vent, cet écriteau :



"à bas le savoir!"



Allez ça voir dans les jardins de Valencia parmi les campanules et les bougainvilliers.



Odorant! Un adjectif pour dire une ombre enrobée dans ses lettres.



Foi d'animal, un facteur le portait!



Ce n'est pas "le facteur temps" - "et c'est le parfum".





Roxane