Lors des salons du livre, on tombe souvent sur des visiteurs qu’on avait perdus de vue depuis belle lurette et qu’on est heureux et surpris de retrouver dans ces circonstances.
Si c’est le cas pour les acheteurs potentiels, c’est aussi celui pour les auteurs qui sont heureux de vous rencontrer et, à l'occasion, vous signaler qu’eux aussi portent ou ont porté les couleurs de l’écurie écrituriales.
Le salon d’Her-de-Fêtes à Noirmoutier n’a pas dérogé à la règle avec la rencontre pour votre blogueur venu célébrer Hyppolite aux Salorges entre écriturialistes d’hier et d’aujourd’hui.
Louis-Marie Veillon, (vite un clic) vous connaissez bien sûr ! Il a sorti en 2020 son « récit de voyage et correspondances d’un missionnaire vendéen au Japon » dont le blog a fait une chronique à l’époque. On l’a également retrouvé en une cet été pour son prix au concours de récits organisé chaque année par Her-de-Fêtes.
Et Albert Blanchard, ce nom vous dit quelque chose ? Si vous faîtes partie des pionniers d’écrituriales vous ne l’avez pas oublié. N’est-ce pas Dominique ? N’est-ce pas Donatien?
Il a été un des six premiers membres de l’association où il est resté jusqu’en 2015 avant de se mettre à son compte. Il a sorti chez écrituriales deux recueils de nouvelles : « Que de drôleries dans l’estuaire ! » et « La petite Jeanne » qu’il présente toujours aujourd'hui sur les salons
Votre blogueur ne pouvait pas manquer la photo souvenir de ces écriturialistes d’hier et d’aujourd’hui sur le salon des Salorges.
Coup de pied dans le buisson
Ne serait-ce que pour se souvenir que parmi les participants aux salons du livre il y a souvent un, voire plusieurs, écriturialistes sur les listes…
On n'ira pas jusqu'à dire que sur la plupart des salons, quand on donne un coup de pied dans un buisson, il en sort toujours un écriturialiste.
Mais c'est un peu vrai en Vendée et aux alentours!
A Noirmoutier avant Noel, il en est sorti trois du buisson pour présenter cinq livres écrituriales...
Epatant, non?
Le mot du jour
Il est signé Muriel Coutelier, présidente d’Her-de-Fêtes, organisatrice du salon des Salorges :
« Il y a toujours une petite place pour mettre un livre sous le sapin »